Aza essaye d'être une bonne détective, une bonne amie, une bonne fille pour sa mère, une bonne élève, tout en étant prise dans la spirale vertigineuse de ses pensées obsessionnelles.
Aza, Daisy, Davis, trio improbable, trouvent en chemin d'autres mystères et d'autres vérités, celles de la résilience, de l'amour et de l'amitié indéfectible.
J’aime bien les romans de John Green, et « Tortues à l’infini » traînait depuis un petit moment dans ma PAL. J’ai passé un bon moment de lecture.
Dans ce roman, on parle des troubles psychiques, ce que je ne connaissais pas vraiment. J’ai trouvé que c’était bien d’en parler et d’en apprendre plus. Les sujets adolescents sont toujours aussi bien traités par l’auteur.
J’ai bien aimé l’histoire, mais il m’a manqué quelque chose. Ce livre ne m’a pas touché comme d’autres de ses romans ont pu le faire. Pour moi, l’histoire est trop courte, et j’aurais aimé qu’elle soit plus développée, qu’on parle plus vraiment des troubles psychiques. De plus, j’aurais aimé accrocher plus avec les personnages.
Toutefois, le fait qu’il y ait cette enquête pour retrouver le père de Davis, rajoute du suspens et de l’action à l’histoire.
Comme d’habitude, on retrouve de l’amour et de l’amitié, et c’est un mélange que j’aime toujours autant. C’est doux et frais.
Ça se lit tout seul, c’est fluide.
Aza est un personnage avec lequel j’ai eu un peu de mal. En effet, le fait quelle pense non stop aux microbes, aux bactéries, etc… fait que j’avais envie de lui mettre des claques parce que je trouve que, parfois, ça part dans tous les sens. Même si je comprends pourquoi elle est comme ça, je ne me suis pas tellement attachée à elle.
Daisy, David et les autres m’ont bien plu.
La plume de John Green est toujours belle et addictive.
J'ai tendance à bien apprécier les romans de l'auteur aussi et ça fait un bon moment que je ne l'ai pas lu, alors pourquoi pas enfin craquer sur ce roman qui me faisait déjà de l'œil à sa sortie...
RépondreSupprimerOui ! Bonne lecture :)
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