Ben doit dresser le portrait de la victime avant de comprendre comment et pourquoi elle s’est retrouvée là. Son enquête le conduit d’abord chez un bottier de Salisbury, puis chez un propriétaire terrien du Yorkshire. Au même moment, Lizzie, l’épouse de Ben, secondée par Bessie, leur domestique à qui rien n’échappe, enquêtent sur une mystérieuse affaire de femme emprisonnée dans sa propre maison.
Tandis que Ben se lance dans une enquête de plus en plus complexe, Lizzie va découvrir une pièce essentielle du puzzle qui lui permettra de s’approcher au plus près de la vérité.
J’ai beaucoup aimé l’enquête et l’histoire. J’ai été dedans dès le début. On bouge beaucoup entre Londres, Salisbury et la campagne. Cela qui permet de découvrir d’autres villes et ambiances, de complexifier l’histoire et de la rendre plus développée et intéressante. Les descriptions de Londres du XIXème siècle m’ont, une nouvelle fois, plongé dans l’ambiance.
Je n’ai pas découvert, ni même soupçonné, le coupable.
On a toujours 2 points de vue, ce qui est très bien. Mais j’ai eu l’impression de plus suivre l’inspecteur que sa femme. Cela n’est pas dérangeant, mais j’avais souvenir qu’on retrouvait beaucoup plus Lizzie dans les précédents tomes.
J’aime toujours autant retrouver Lizzie et Ben Ross. C’est un couple qui matche bien dans le genre policier.
Les personnages secondaires sont sympas, et je me suis attachée à certains (Miss Eldon, les voisins d’en face de Miss Eldon).
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